Atelier Ivan Hor. 3D painter. Owner of 68,000... + boats of all sizes and colors (in paper).
Messe Mardi 17 janvier 2025 à 10h du matin à l Église de St Tropez
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| Ivan Hor Bon Voyage! |
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Ivan Hor est parti pour le voyage eternel dans la nuit de Vendredi 3 Janvier 2025 au Samedi 4 Janvier 2025,il avait 84 ans.Vendredi 3 janvier,il etait à son atelier comme d'habitude.
Avec Eugenie Luchel, Henrie SIE, St Tropez perd un des derniers personnages du ST Tropez des années 1970...
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"Il aimait la plume d’Aragon et de Prévert, le film Fanfan la Tulipe, les voiliers s’élançant au large et par-dessus tout son atelier situé dans la rue des Remparts. Véritable personnage et figure locale, Ivan Hor s’est éteint dans la nuit de vendredi à samedi à Saint-Tropez. Il avait 84 ans. Un départ soudain pour cet hyperactif qui était encore niché dans sa boutique, à l’angle de la place des Lices, ce vendredi après-midi...
Rencontré à de multiples reprises au cours de sa longue carrière, le peintre avait toujours mille et une idées dans son chapeau qu’il ne quittait jamais. "Quand je ne suis pas en train de confectionner quelque chose à l’atelier, je suis dans ma boutique pour conseiller les clients. Je suis toute la journée au travail, c’est plus fort que moi. C’est ma vie! mon âge, il faut savoir perpétuellement rebondir et innover pour ne jamais s’ennuyer. Le jour où je n’aurai plus cette envie, ce sera peut-être la fin...", confiait-il en février 2022.
Tropézien récompensé
Arrivé à Saint-Tropez à la fin des années 60, ce Hongrois de naissance a connu une enfance ordinaire avec ses cinq frères et sœurs avant de fuir son pays lors de la Révolution hongroise de 1956. Après une adolescence marquée par la guerre, il se réfugie en Autriche avant de s’envoler pour Paris, où il vit avec une famille de professeurs qu’il lui apprend le français. Pendant trois ans, il intègre le lycée Corvisart où il s’initie à la peinture, au dessin et à la photographie. Une entrée en matière pour ce passionné d’art. C’est finalement pendant la crise de Mai 68 qu’Ivan Hor découvre son paradis. "Quand je suis arrivé au virage du Treizain et que j’ai aperçu les façades tropéziennes, j’ai eu un coup de foudre. Je ne suis plus jamais reparti. J’ai trouvé mon port d’attache", dévoilait-il avec émotion en 2018. Cette année-là, en guise de remerciements, la municipalité lui avait décerné sa plus belle récompense: la médaille d’or de Saint-Tropez. Une distinction prestigieuse pour cet amoureux du village.
L’art du pliage
Si Ivan Hor a réussi à toucher en plein cœur les Tropéziens, c’est avant tout grâce à ses œuvres uniques en leur genre. Ce nostalgique de la Nioulargue agrémentait la plupart de ses toiles avec des petits bateaux en papier, pliés en origami. Un savoir-faire qu’il avait lui même nommé "l’Art Bateau".
" Cette compétition de voiliers était sublime et j’aimais particulièrement l’observer depuis la Ponche. Une année pendant les régates, un ami est venu me déposer des dizaines de revues. Paniqué, je me suis demandé ce que j’allais faire de toute cette paperasse avant de trouver cette idée. Depuis, je fabrique des petits bateaux quotidiennement ", retraçait-il. Ce concept a d’ailleurs propulsé sa carrière à l’échelle locale mais aussi à l’étranger avec des expositions aux États-Unis et au Japon.
Un père aimant
Même si la peinture représentait "son moteur dans la vie ", son cadeau le plus précieux restait sa fille Émilie. Il y a moins de trois semaines, Ivan Hor vantait encore les talents "de sa plus belle création" à l’occasion de sa première exposition à la galerie du 73 rue Gambetta (lire notre édition du 24 décembre). "C’est une artiste d’avenir. Elle a baigné dans cet univers de couleurs et de formes. Je suis rempli de joie à l’idée de la voir exposer ses nouvelles créations ", applaudissait-il. Très ému, il se remémorait aussi les premières cartes postales créées par Émilie à l’âge de 12 ans et avait accepté de poser avec elle tout en restant distant. "« C’est elle l’artiste, pas moi", insistait-il. Très apprécié dans le village, l’artiste avait également une association à son nom, intitulée "Les Amis en Hor", pour protéger ses œuvres. David Salin, le vice-président est atterré par cette terrible nouvelle: "Je suis choqué. Je travaille à ses côtés depuis 1993 mais je le connais depuis 1975. C’était un second père pour moi. " La rédaction de Var-Matin adresse ses sincères condoléances à la famille et aux proches d’Ivan Hor.
Rencontré à de multiples reprises au cours de sa longue carrière, le peintre avait toujours mille et une idées dans son chapeau qu’il ne quittait jamais. "Quand je ne suis pas en train de confectionner quelque chose à l’atelier, je suis dans ma boutique pour conseiller les clients. Je suis toute la journée au travail, c’est plus fort que moi. C’est ma vie! mon âge, il faut savoir perpétuellement rebondir et innover pour ne jamais s’ennuyer. Le jour où je n’aurai plus cette envie, ce sera peut-être la fin...", confiait-il en février 2022.
Tropézien récompensé
L’art du pliage
Si Ivan Hor a réussi à toucher en plein cœur les Tropéziens, c’est avant tout grâce à ses œuvres uniques en leur genre. Ce nostalgique de la Nioulargue agrémentait la plupart de ses toiles avec des petits bateaux en papier, pliés en origami. Un savoir-faire qu’il avait lui même nommé "l’Art Bateau".
" Cette compétition de voiliers était sublime et j’aimais particulièrement l’observer depuis la Ponche. Une année pendant les régates, un ami est venu me déposer des dizaines de revues. Paniqué, je me suis demandé ce que j’allais faire de toute cette paperasse avant de trouver cette idée. Depuis, je fabrique des petits bateaux quotidiennement ", retraçait-il. Ce concept a d’ailleurs propulsé sa carrière à l’échelle locale mais aussi à l’étranger avec des expositions aux États-Unis et au Japon.
Un père aimant
Même si la peinture représentait "son moteur dans la vie ", son cadeau le plus précieux restait sa fille Émilie. Il y a moins de trois semaines, Ivan Hor vantait encore les talents "de sa plus belle création" à l’occasion de sa première exposition à la galerie du 73 rue Gambetta (lire notre édition du 24 décembre). "C’est une artiste d’avenir. Elle a baigné dans cet univers de couleurs et de formes. Je suis rempli de joie à l’idée de la voir exposer ses nouvelles créations ", applaudissait-il. Très ému, il se remémorait aussi les premières cartes postales créées par Émilie à l’âge de 12 ans et avait accepté de poser avec elle tout en restant distant. "« C’est elle l’artiste, pas moi", insistait-il. Très apprécié dans le village, l’artiste avait également une association à son nom, intitulée "Les Amis en Hor", pour protéger ses œuvres. David Salin, le vice-président est atterré par cette terrible nouvelle: "Je suis choqué. Je travaille à ses côtés depuis 1993 mais je le connais depuis 1975. C’était un second père pour moi. " La rédaction de Var-Matin adresse ses sincères condoléances à la famille et aux proches d’Ivan Hor.
Pas le cœur de rajouter quelque chose….😭😢😢 Sylvie "
Attention ! L’association ayant été dissoute, pour ceux qui veulent s’associer en tant que Amis en Hor à la gerbe, mettre le chèque au nom de Christian Salin, ex-président , qui paiera le fleuriste. MERCIIIIIIII
Amis en Hor Envoyé de mon iPhone
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| Imádta Aragon és Prévert írását, a Fanfan la Tulipe című filmet, a tengeren vitorlázó vitorlásokat és mindenekelőtt a Rue des Remparts-on található műhelyét. Ivan Hor igazi karakter és helyi figura a péntekről szombatra virradó éjszaka halt meg Saint-Tropezben. 84 éves volt. Hirtelen távozott ez a hiperaktív ember, aki még mindig az üzletében, a Place des Lices sarkán fészkelt ezen a péntek délutánon... A hosszú pályafutása során többször találkozott festőnek mindig ezeregy ötlet volt a kalapjában, amit soha nem vetett le. "Amikor nem készítek valamit a műhelyben, az üzletemben vagyok, és tanácsot adok a vásárlóknak. Egész nap dolgozom, ez nem megy rajtam kívül. Ez az életem! Az én korom, tudnod kell, hogyan lehet folyamatosan visszapattanni és újíts meg, hogy soha ne unatkozz, az a nap, amikor már nincs bennem ez a vágy, talán az lesz a vége…” – mondta 2022 februárjában. Tropezian jutalmazta Az 1960-as évek végén Saint-Tropez-be érkezett magyar születésű, hétköznapi gyermekkorát öt testvérével élte, mielőtt az 1956-os forradalom idején elmenekült hazájából. A háborús serdülőkor után Ausztriában keresett menedéket. mielőtt Párizsba repült, ahol egy tanárcsaláddal élt, akik franciául tanították. Három évig a Corvisart középiskolába járt, ahol festészetet, rajzolást és fényképezést tanult. Bevezetés ennek a művészet rajongónak. Végül a 68. májusi válság idején Ivan Hor fedezte fel paradicsomát. „Amikor megérkeztem a Treizain kanyarhoz, és megláttam a Saint-Tropez homlokzatát, első látásra beleszerettem, és soha többé nem hagytam el otthonomat” – nyilatkozta meghatottan 2018-ban , az önkormányzat neki ítélte a legnagyobb jutalmat: a Saint-Tropez aranyéremmel. Tekintélyes kitüntetés a falu e szerelmese számára. A hajtogatás művészete Ha Ivan Hornak sikerült megérinteni Tropéziens szívét, az mindenekelőtt a maga nemében egyedülálló alkotásainak köszönhető. Ez a Nioulargue iránti nosztalgia a legtöbb festményét kis papírhajókkal díszítette, amelyeket origamiként hajtogattak. Egy know-how, amit ő maga „Boat Art”-nak nevezett. "Ez a vitorlásverseny fenséges volt, és különösen szerettem a La Ponche-ból megfigyelni. Egy évben a regatták alatt egy barátom eljött, hogy több tucat magazint leadjon nekem. Pánikba esve megkérdeztem magamtól, mit fogok csinálni mindegyikkel. papírmunkát végeztem, mielőtt megtaláltam ezt az ötletet, azóta minden nap készítek kishajókat” – emlékezett vissza. Ez a koncepció lendítette karrierjét itthon, de külföldön is, az Egyesült Államokban és Japánban rendezett kiállításokkal. Egy szerető apa Még ha a festmény is „az ő mozgatórugója az életben”, legértékesebb ajándéka lánya, Émilie maradt. Alig három héttel ezelőtt Ivan Hor még "legszebb alkotása" tehetségét méltatta első kiállítása alkalmával a rue Gambetta 73. szám alatti galériában (olvasd el december 24-i kiadásunkat). „Ő a jövő művésze, elmerült ebben a színek és formák világában. Nagyon meghatódva emlékezett az első képeslapokra is, amelyeket Émilie 12 évesen készített, és beleegyezett, hogy távol maradva pózoljon vele. „Ő a művész, nem én” – erősködött. A faluban igen népszerű művésznek a nevében egy egyesület is működött, Les Amis en Hor címmel művei védelmére. David Salint, az alelnököt lesújtja ez a szörnyű hír: „1993 óta dolgozom vele, de 1975 óta ismerem. Ő volt a második apám.” Matin őszinte részvétét fejezi ki Ivan Hor családjának és szeretteinek. Nincs szíved hozzátenni semmit…😭😢😢 Sylvie |
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Attention ! L’association ayant été dissoute, pour ceux qui veulent s’associer en tant que Amis en Hor à la gerbe, mettre le chèque au nom de Christian Salin, ex-président , qui paiera le fleuriste. MERCIIIIIIII
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p.s... egy nap majd a saját papírhajónkat hajtogatjuk és eltávozunk ismeretlen vizekre... IVAN HOR addig is légy a kapitányunk és mutasd az irányt az örökkévalóság felé... szeretettel gondolunk Rád és a barátságunkra! |
AMIS EN HOR
Siège : 6, impasse des Lorettes Les Capucins bât E 83990 SAINT-TROPEZ
Président : Christian SALIN tél. 06 09 66 81 25
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| Ivan Hor & Misi (...a testvérek, együtt vannak egy másik dimenzióban...) |
